Jean Bredier,Maire de Montrollet (1935 -1944), Combattant français de 1914 à 1918, Figure de la Résistance à Aubusson, Absent de la mémoire collective en Charente limousine.
Jean Bredier naît à Montrollet le 17 avril 1893 de l’union de Joseph Bredier 24 ans et de Françoise Melon 22 ans habitant tous les deux la commune. Le grand-père maternel de Jean Bredier, Martial Melon, est Maire de Montrollet depuis 1876 : il est l’un des plus importants propriétaires terriens de la commune. Son grand père paternel, Léonard Bredier, est le forgeron du village dont la forge est installée à la sortie du bourg en direction de Brigueuil.
Jean Bredier naît quatorze mois après le mariage de ses parents. Son père Joseph meurt accidentellement le 30 octobre 1894 alors que Jean Bredier est âgé de 18 mois. Sa mère, accablée par le deuil, élève seul son fils pendant 4 ans avant de se remarier le 19 mars 1898 avec le frère de son défunt mari Jean Joseph Bredier.
Jean Bredier a alors 5 ans lorsque son oncle et sa mère fondent un nouveau foyer. La cellule familiale s’enrichit d’une petite fille le 25 décembre 1899 qui décède prématurément le 1er mars 1900. Malgré cette affliction, son oncle a pour Jean Bredier l’amour et l’attention d’un père pour son enfant. Le jeune garçon est vigoureux et studieux, l’école reste pour lui la possibilité d’allier les activités physiques et intellectuelles qu’il mène avec autant de succès. Il est très certainement l’élève préféré de son instituteur Léon Chaussat auquel il offre le plaisir de le voir classé premier au certificat d’étude.
Jean Bredier,Maire de Montrollet (1935 -1944), Combattant français de 1914 à 1918, Figure de la Résistance à Aubusson, Absent de la mémoire collective en Charente limousine.
Jean Bredier naît à Montrollet le 17 avril 1893 de l’union de Joseph Bredier 24 ans et de Françoise Melon 22 ans habitant tous les deux la commune. Le grand-père maternel de Jean Bredier, Martial Melon, est Maire de Montrollet depuis 1876 : il est l’un des plus importants propriétaires terriens de la commune. Son grand père paternel, Léonard Bredier, est le forgeron du village dont la forge est installée à la sortie du bourg en direction de Brigueuil.
Jean Bredier naît quatorze mois après le mariage de ses parents. Son père Joseph meurt accidentellement le 30 octobre 1894 alors que Jean Bredier est âgé de 18 mois. Sa mère, accablée par le deuil, élève seul son fils pendant 4 ans avant de se remarier le 19 mars 1898 avec le frère de son défunt mari Jean Joseph Bredier.
Jean Bredier a alors 5 ans lorsque son oncle et sa mère fondent un nouveau foyer. La cellule familiale s’enrichit d’une petite fille le 25 décembre 1899 qui décède prématurément le 1er mars 1900. Malgré cette affliction, son oncle a pour Jean Bredier l’amour et l’attention d’un père pour son enfant. Le jeune garçon est vigoureux et studieux, l’école reste pour lui la possibilité d’allier les activités physiques et intellectuelles qu’il mène avec autant de succès. Il est très certainement l’élève préféré de son instituteur Léon Chaussat auquel il offre le plaisir de le voir classé premier au certificat d’étude.